La classe préparatoire ECS n’a pas été une évidence pour moi dès le début. Issue de terminale scientifique j’avais opté pour cette voie surtout pour les multiples débouchés qu’elle promettait sans trop savoir vers quoi m’orienter par la suite.

Les mauvaises notes et les difficultés sont normales et constituent même un passage obligé, mais il ne faut pas se formaliser. Ce n’est pas évident tous les jours, il y a des périodes de stress et de doute, mais si c’était à refaire je n’hésiterais pas une seconde, car être fier de soi, ça n’a pas de prix.

La diversité des programmes, les méthodes d’encadrement et la rencontre de professeurs lors d’un salon d’orientation m’ont poussée à faire une classe prépa ECS au Lycée Fabert.

Loin des stéréotypes de la classe préparatoire, il y a un grand esprit d’entraide entre les élèves,

Au départ, j’ai choisi de faire une prépa ECS sans vraiment savoir ce qu’était une école de commerce. J’avais du mal à définir mon projet professionnel, j’étais intéressée par l’art mais les filières purement artistiques ne correspondaient pas vraiment à mon profil.

Encore incertain de ce que je voulais faire de mon avenir, j’ai choisi au départ la classe ECS pour l’enseignement général et divers qu’elle proposait, en comptant sur deux années de répit pour mon orientation. La proximité géographique du lycée Fabert ainsi que ses très bons résultats m’ont amené à le choisir pour y passer deux années qui se sont avérées riches en expériences académiques et humaines.

Choisir la prépa ECS n’a pas été une évidence pour moi en pleine année de terminale au lycée Charles Jully (Saint-Avold). Alors que je m’intéressais sans grand entrain aux prépas scientifiques et que je lorgnais avidement sur les écoles de commerce post-bac, c’est finalement la richesse et la diversité du programme d’ECS qui m’ont attiré.

Pour ce qui est de la compétition entre élèves de classe préparatoire, le lycée Fabert répondra par une cohésion et une convivialité entre élèves plus qu’appréciables.

J’ai donc décidé de faire confiance à mes professeurs une année de plus en khûbant à Fabert. Durant cette année, j’ai senti qu’ils m’avaient vraiment aidé à exploiter tout mon potentiel. J’ai finalement intégré HEC à la fin de cette année de khûbe.

La question de la prépa parisienne ne se pose même pas : les résultats ici, « en Province », sont vraiment très bons.

Et maintenant que j’ai intégré l’EM Lyon, je me rends compte que mon passage au lycée Fabert a été déterminant, et je souhaite à tous les préparationnaires un bon courage pour ces années qui en valent grandement la peine.