Faire murir le goût du travail
Lycéenne scolaire et brillante dans toutes les matières, la classe préparatoire s’est imposée comme une évidence. J’ai rapidement hésité entre une CPGE économique ou bien scientifique mais mon attrait pour les mathématiques m’a vite rattrapée. J’ai donc choisi d’intégrer une MPSI.
Je suis allée à Fabert car je souhaitais rester près de ma famille, autant d’un point de vue affectif que logistique : il est tellement plus agréable de rentrer chez soi après une longue journée de cours. On m’avait également loué l’accompagnement personnalisé dont jouissent les élèves dans cet établissement.
Tout au long de mes deux années de CPGE, je me suis réellement sentie soutenue et stimulée intellectuellement afin de progresser en permanence.
En première année, ma classe a développé une grande cohésion, permettant à ceux qui le voulaient de travailler en groupe. La MPSI s’est déroulée tranquillement, je l’ai ressenti comme le prolongement du lycée.
J’ai ensuite intégré la MP*. Le début de cette deuxième année a été dur et la marche fut haute : j’ai rencontré plus de difficultés et j’avais de plus en plus de doutes sur mon souhait de vouloir devenir ingénieure ou chercheuse. Heureusement, l’équipe enseignante a su m’écouter, me rassurer et également me proposer des alternatives, comme des études d’actuariat. Grâce à elle, j’ai repris confiance et j’ai réussi à intégrer l’École Nationale des Ponts et Chaussées, afin de rejoindre leur département d’économie et de finance, résolvant l’hésitation entre un parcours économique ou d’ingénierie.
Aujourd’hui, je suis heureuse d’avoir choisi de faire ma classe préparatoire à Fabert. Ces deux années d’études m’ont fait murir et m’ont permis de renforcer des capacités importantes comme la concentration, l’organisation ou le goût du travail. Enfin, elles s’ouvrent sur des expériences incroyables et épanouissantes en école, qui confirment que mon choix était le bon.