Apprendre à mieux se connaître
La perspective de devenir ingénieur m’ayant toujours fortement attiré, je me suis orienté vers les classes préparatoires aux grandes écoles après avoir décroché mon bac S-SVT, qui représente la voie classique pour accéder aux écoles d’ingénierie.
Je me suis ainsi retrouvé au lycée Fabert en filière PCSI, espérant en découvrir plus sur moi-même et sur les domaines susceptibles de m’intéresser.
Si je devais résumer mon passage en prépa à Fabert en quelques lignes, je dirais que tout d’abord, son atout incontesté est son staff éducatif très compétent, toujours disponible et à l’écoute de ses élèves, le tout agrémenté d’une ambiance de classe solidaire, avec des camarades sérieux et motivés, loin du stéréotype du fameux « esprit concours ».
De plus, la charge de travail importante en classe préparatoire m’a permis de me dépasser, d’apprendre à mieux me connaître et à développer une rigueur scientifique et littéraire, deux composantes essentielles au métier d’ingénieur.Hamza BENFKIRA (TELECOM SudParis)
Cela ne m’a pas empêché de faire du sport, de sortir, de voyager et de me faire de très bons amis ; je dirais même qu’il est nécessaire de trouver un équilibre afin de mieux réussir.
Ma deuxième année en filière PSI* n’a pas été facile ; j’ai cherché à parfaire ma méthode et mon organisation, mais je n’ai pas eu ce que je voulais à son issue.
Ma troisième année a été celle où j’ai renforcé mes acquis, où j’ai réellement élevé mon niveau et celle qui m’a définitivement convaincu que notre réussite ne dépend que de la qualité de notre travail personnel.
Ce qui m’a permis d’intégrer mon école actuelle : Télécom SudParis, une grande école d’ingénierie du numérique, membre du groupe de l’Institut Polytechnique de Paris.
Si c’était à refaire, je recommencerais les yeux fermés.
